Voté en décembre dernier, le budget primitif 2022 (899,2 M€ contre 851,5 M€ en 2021) de la Métropole prévoit 306,9 M€ d’investissements, contre 272,5 M€ en 2021, soit une augmentation de 12,5%.
Dans l’incertitude et le brouillard générés par les crises sanitaire, économique, sociale et environnementale, la Métropole Rouen Normandie fait le choix de mobiliser ses moyens publics sans augmenter la fiscalité métropolitaine. Elle peut s’engager sur cette voie car elle dispose de finances saines et qu’enne adopte un budget assurant une gestion performante et sécurisée de ses ressources.
Ce budget ambitieux fait de la Métropole Rouen Normandie le deuxième acteur de Normandie, après la Région, en matière d’investissement public.
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La Métropole Rouen Normandie engage près de 5 millions d'euros, entre 2020 et 2025, dans le traitement des copropriétés dégradées, notamment dans les quartiers les plus en difficulté.
Dans le cadre de sa politique habitat (2020-2025), la Métropole s’est engagée très fortement dans le traitement des copropriétés dégradées notamment dans les quartiers les plus en difficulté du territoire et concernés par des interventions au titre du renouvellement urbain financés par l’ANRU. À ce titre, la Métropole va engager sur cette période un budget de près de 5 millions.
Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole, avec Thierry Repentin, ancien Ministre, Président de l’Anah, en présence de Joachim Moyse, Maire de Saint-Étienne-du-Rouvray, Vice-Président de la Métropole en charge du logement, de l’habitat et de la politique de la Ville
En octobre 2018, le ministère de la Ville et du Logement a lancé le plan national « Initiative Copropriété » pour remédier durablement aux difficultés importantes rencontrées par certaines copropriétés. Les 800 logements des copropriétés du quartier du Château-Blanc à Saint-Étienne-du-Rouvray font partie des 14 projets suivis au niveau national. Elles sont les seules au niveau de la région Normandie et du Grand Ouest. Ce dispositif permet de bénéficier de majorations des financements pour réaliser des travaux ou démolir les copropriétés qui ne peuvent plus être redressées. L’Anah et l’ANRU apportent près de 70% des financements pour le traitement des copropriétés de Saint-Étienne-du-Rouvray.
La première phase du plan a permis le recyclage de la barre Sorano (140 logements) de la copropriété Robespierre avec la contribution financière de l’ANRU, de la Région, du Département, la Ville et de la Métropole. Cette opération a été accompagnée par l’Établissement Public Foncier de Normandie. Le reste de la copropriété Robespierre (166 logements), déclaré par le tribunal en carence en mars 2021, doit également être démoli, dans le cadre d’une concession confiée par la métropole à CDC Habitat Action Copropriétés. À ce jour, une vingtaine d’acquisitions amiables est en cours. En 2021, l’Anah a financé le déficit de l’opération de carence des 166 logements restants de la copropriété Robespierre pour un montant de près de 16M€. Le reste du déficit a été financé par la Métropole et la ville de Saint-Étienne-du-Rouvray.
Les difficultés des 7 autres copropriétés du quartier (501 logements) paraissent remédiables : elles font l’objet d’une Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat Copropriétés Dégradés (OPAH CD) sur cinq ans. Elle permettra d’accompagner les copropriétaires dans la réalisation de leurs travaux et dans la gestion des copropriétés.
Afin de coordonner et de piloter l’ensemble de ces actions sur les copropriétés, il a été décidé de mettre en place un outil ensemblier nouveau : l’ORCOD (Opération de Requalification des Copropriétés Dégradées). Il s’agit d’une des premières en France. Elle sera pilotée par la Métropole en lien avec la Ville, ce qui permettra notamment de disposer du financement pour les actions de Gestion Urbaine de Proximité. La signature de l’ORCOD doit intervenir au 1er trimestre 2022. Elle va permettre de réhabiliter et redresser l’ensemble des copropriétés du quartier, 800 logements répartis dans 8 copropriétés. La ville mobilise les financements de l’Anah pour la gestion urbaine de proximité, afin d’accompagner les copropriétaires dans la revalorisation et la transformation du quartier.
La commune rurale de Roncherolles-sur-le-Vivier, située à 10 km de Rouen, s’est vu remettre, ce 21 janvier, au Ministère de la transition écologique, le Label 4 des ÉcoQuartiers, plus haut niveau de cette reconnaissance environnementale, pour son ÉcoQuartier des Arondes.
Ce label vient couronner des années de travail et d’investissements de la commune. La Métropole Rouen Normandie a toujours soutenu ce projet ambitieux, dès sa genèse, lors des études préliminaires pour l'extension du Centre-Bourg en 2003 ainsi que pour l'inscription au plan d'aménagement foncier en 2004 et encore cette année, à l’occasion de visites organisées dans le cadre de Rouen Capitale du Monde d’après.
La protection de l’environnement et de la biodiversité fait partie de l’ADN de cette commune depuis des décennies puisque l’extinction de l’éclairage public a par exemple été votée et mise en place dès 1980. Située à moins de 10 km à l’est du centre de Rouen, entre champs et forêt, la petite commune a toujours conservé cette avance. Roncherolles-sur-le-Vivier est l’une des premières communes de la Métropole à abandonner les traitements phytosanitaires, développe les chemins pédestres, participe activement à la politique de renaturation de la Métropole… Sa plus grande réalisation, celle qui l’a fait connaître en Normandie et en France, c’est son écoquartier, dont les premières réflexions ont été lancées il y a une quinzaine d’années.
Au début des années 2000, le centre-bourg de Roncherolles est constitué de la mairie, l’église, l’école et une ferme en activité ! Quand l’agriculteur cesse celle-ci, les élus voient l’opportunité d’utiliser cette grande parcelle pour revoir complètement l’aménagement du centre-bourg. Ils vont être très ambitieux :
- le tracé de la route départementale est modifié pour l’éloigner de l’école
- l’entrée de l’école est modifiée, la cour de récréation agrandie et agrémentée d’un jardin des 5 sens issu du projet de l’équipe enseignante
- la grange de l’ancienne ferme est réhabilitée et transformée en bâtiments publics (dont deux salles de classe) et trois logements locatifs ; la colonie d’hirondelles qui y passe les beaux jours est préservée
- un parc paysager environnemental prévu pour les pluies centennales et garant de la biodiversité est aménagé autour de la mare rénovée et d’une deuxième créée.
- Les eaux de pluie, y compris les eaux pluviales des habitations, sont traitées sur place grâce à un système de noues et ne sont donc pas rejetées dans le réseau.
- 39 logements (22 en locatif, 17 en location-accession à la propriété) sont construits
- Une case commerciale est construite : elle est occupée depuis 2016 par un salon de coiffure, créateur de deux emplois depuis 2 ans
- Les modes de déplacement doux sont favorisés.
Maintenant achevé, l’écoquartier remplit toutes les attentes des élus et les besoins des habitants en assurant une mixité sociale et générationnelle en proposant des solutions de logement à des jeunes qui veulent s’installer à Roncherolles et aux anciens qui veulent revendre leur maison et rester dans le village. Cette « urbanisation maîtrisée » a porté le nombre d’habitants à 1 182, densifié le centre bourg et a donc conforté les commerces et les services, l’école en premier lieu.
Quatre ans après la livraison et après l'obtention du label - étape 3, les projets engagés dans la démarche Éco-Quartier peuvent prétendre à la quatrième et dernière étape de labellisation. À cette étape, le label distingue les bonnes pratiques en matière d'évaluation et d'amélioration continue des projets.
Voici les différentes étapes réussies d’obtention du Label Écoquartier pour Roncherolles-sur-le- Vivier :
Étape 1 : écoquartier en projet –mai 2014
Étape 2 : écoquartier en chantier, conformité du projet à la charte –décembre 2014
Étape 3 : écoquartier livré –décembre 2017
Étape 4 : écoquartier confirmé après au moins 3 ans et autoévaluation – 21 janvier 2022.
La commune a mis en place des initiatives environnementales exemplaires depuis de nombreuses années dans cet écoquartier et sur son territoire, comme l’arrêt de l’épandage depuis 2010, la mise en place d’écopâturages sur les terrains communaux ou encore le renforcement du réseau de mares, et tout cela en concertation et en étroite collaboration avec les habitants. Avec toujours de nouveaux projets dans le viseur comme : un verger partagé, l’implantation d’un maraicher, la végétalisation de la cour d’école, la valorisation des déchets alimentaires au restaurant scolaire ou encore l’installation de composteurs collectifs. La Métropole sera aux côtés de la commune pour l’accompagner et l’aider à la réalisation de ces différents nouveaux défis écologiques.
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Six projets innovants, portés par de jeunes créateurs, ont été récompensés par le concours Créactifs.
Les lauréats ont obtenu un financement de la Métropole, complété par le CJD Normandie (Centre des Jeunes dirigeants) et le Crédit Agricole. Leurs projets portent sur différentes thématiques : l’environnement, l'autopartage, le jardinage...
Les lauréats 2021/2022
Pauline Beuzelin
Mi-juin - Rouen
Subvention : 8 000€
Le projet : créer un atelier de confection de vêtements et linge de maison à partir d'une matière première créée par des filatures ayant relocalisé leur activité en France. Mi-juin permet de soutenir l'emploi des jeunes en zone rurale et de s'inscrire dans une démarche zéro déchet.
www.mijuin.fr
Marie Caumel
Savonnerie Colette - Rouen
Subvention : 8 000€
Le projet : fabriquer des savons artisanaux élaborés à partir de produits locaux et ou régionaux (marc de café, bière d'un brasseur...). La savonnerie Colette s'adresse aux personnes qui souhaitent prendre soin d'elles tout en préservant l'environnement.
Pauline Fiquet
Les tatas fripées - Rouen
Subvention : 7 500€
Le projet : créer un tiers-lieu pour développer du lien entre les habitants avec une ressourcerie (vêtements et mobilier), des programmations culturelles (ateliers, débats) ou une conciergerie de quartier pour des échanges de services, de savoirs et d'actions de solidarité.
Facebook Les Tatas Fripées
Vincent Coutey-Noury
Normandie Auto Partage - Rouen
Subvention : 5 000€
Le projet : développer un service d'autopartage au moyen d'une plateforme afin de réduire l'impact environnemental des véhicules. Les voitures sont des véhicules d'occasion achetés en Normandie, convertis à l'autopartage grâce à un boitier connecté qui permet l'accès du véhicule via un téléphone portable.
Antoine Froehlicher
Les Vagabonds de l'énergie - Rouen
Subvention : 10 500€
Le projet : acquérir puis aménager un véhicule utilitaire pour en faire un atelier mobile de découverte de la construction low-tech, des solutions technologiques simples, robustes et peu énergivores.
www.vagabondsenergie.org
Yves Perret
L'Entre-Deux - Bois-Guillaume
Subvention : 8 000€
Le projet : créer une ferme urbaine pour accueillir des ateliers pour les enfants, des chantiers participatifs au jardin, des formations pour les particuliers, des séminaires d'entreprises tout en permettant aux habitants d'acquérir des produits bio en circuit court.
Facebook L'Entre-Deux, terre d'exploration fertile
Il faut bousculer nos habitudes de déplacement ! Tiphaine Bréant montre l’exemple en testant un vélo pliant pendant trois mois.
En acceptant de tester le vélo pliant pour ses trajets quotidiens, Tiphaine Bréant ne révolutionne pas sa manière de se déplacer. Cette ingénieure de 24 ans, formée à l’Insa, à Saint-Étienne-du- Rouvray, n’a pas de voiture et circule depuis longtemps à vélo et en transports en commun. Un choix évident quand elle habitait en ville, qu’elle a confirmé en s’installant à Quevillon au printemps. Ses trajets entre son domicile et son travail, à Bois-Guillaume, sont mixtes : vélo jusqu’à Saint-Martin-de-Boscherville, bus (ligne 30) jusqu’à Rouen, puis métro et bus. "J’ai d’abord utilisé mon vélo personnel pendant quelques mois. C’est faisable à condition de bien attacher son vélo qui reste près de l’arrêt de bus pendant toute la journée. Des parcs à vélos sécurisés sont indispensables." En septembre, Tiphaine profite du nouveau service de location de vélos de la Métropole, Lovélo, pour tester l’assistance électrique. Le moteur change tout ! "Ça n’a rien à voir avec le vélo classique. Je faisais tout mon trajet avec le vélo électrique, 16 km et 40-45 minutes de porte à porte."
Retenue pour être l’un des ambassadeurs dans le cadre de la concertation "Mobilités : ça bouge", Tiphaine expérimente donc un nouveau type de vélo : elle a pour défi, depuis novembre et pendant trois mois, d’utiliser un vélo pliant, en partageant son expérience et ses commentaires. Sa journée débute toujours par un trajet à vélo. Mais au lieu de laisser son deux-roues à l’arrêt de bus, elle l’emporte avec elle. Les vélos pliants sont en effet acceptés dans tous les transports en commun, et à toute heure. "Une fois qu’on a compris comment le déplier et le replier, ça prend moins d’une minute. C’est pratique, ni trop lourd ni trop encombrant." Sa préférence reste à l'électrique, plus rapide et plus autonome. Avant même la fin de son essai, toutes ses expériences nous enseignent qu’il faut tester plusieurs solutions pour réussir à modifier durablement ses habitudes de déplacement.
"Mobilités : ça bouge"
Lovelo
La Métropole Rouen Normandie lutte contre les inégalités et renforce l'attractivité de son territoire en créant un Fonds d'aide aux communes de 1,5 M€ pour l'équipement de cabines connectées.
Le formulaire à destination des communes est disponible dès maintenant ici. Ce processus vise à rendre le numérique accessible à chaque individu et à accompagner les publics dans leurs démarches administratives dématérialisées avec nombre d'acteurs publics ou parapublics : impôts, CAF...
Cette problématique de fracture numérique concerne potentiellement l'ensemble des communes de la Métropole Rouen Normandie, d'où l'importance d'apporter une réponse à la hauteur de l'enjeu.
"La Métropole Rouen Normandie fait de l'inclusion numérique un axe majeur pour l'attractivité de son territoire, rappellent Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole, et Abdelkrim Marchani, Vice-Président en charge de l'économie, l'attractivité, le numérique, l'Europe et l'international. La création d'un Fonds d'aide aux communes pour l'équipement de cabines connectées constitue un réel enjeu de la réussite de la transition numérique et sociale. Faisons de l'e-inclusion un levier de l'insertion sociale et économique."
La dématérialisation des démarches administratives présente un certain nombre d’avantages, elle met aussi en lumière la problématique de la fracture numérique. En effet, tous les Français, et donc les habitants de la Métropole, ne sont pas égaux face l’utilisation du numérique. Selon une étude de l'Insee, la fracture numérique touche 17% de la population, des inégalités persistent chez les personnes les plus âgées, les personnes moins diplômées et les ménages aux revenus modestes. Ainsi, parmi les plus de 75 ans, une personne sur deux n'a pas d'accès à Internet depuis son domicile.
Les cabines connectées sont donc un outil d’appui aux politiques publiques territoriales en matière d’e-inclusion et notamment de lutte contre l’illectronisme. Un accompagnement des publics est par ailleurs nécessaire pour faciliter l’usage de cabines connectées et optimiser l’impact de leur implantation.
Le fonds de concours, voté au dernier conseil métropolitain, vise à soutenir l’investissement des communes de la Métropole Rouen Normandie pour l’acquisition et l’implantation de cabines connectées, de une à trois cabines par commune en fonction du nombre d'habitants. Il est doté d’une enveloppe de 1,5 M€ sur la période 2021-2023.
La Métropole va engager 15M€ pour financer des investissements de santé, en particulier des lits supplémentaires de réanimation.
La Métropole Rouen Normandie propose d’engager des financements inédits, d’environ 15 M€, pour permettre le déploiement de projets d’urgence et de moyen/long terme sur son territoire dans plusieurs domaines hautement prioritaires : lits de réanimation et soins critiques, lutte contre les violences faites aux femmes, santé mentale, addictologie, gériatrie, cancérologie, périnatalité... Plusieurs établissements, sur plusieurs sites (CHU Charles Nicolle à Rouen, Saint-Julien à Petit-Quevilly, CHI Elbeuf/Louviers/Val-de-Reuil, Centre H. Becquerel…) pourraient ainsi bénéficier d’investissements significatifs dans des secteurs absolument essentiels et où la situation d’épuisement des personnels soignants et non soignants n’est plus tenable.
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie et Président du Conseil de surveillance du CHU de Rouen, Charlotte Goujon, Vice-Présidente en charge de la santé et de la sécurité sanitaire et industrielle et Djoudé Merabet, Président du Conseil de surveillance du CHI Elbeuf-Louviers-Val de Reuil : « Les personnels et leurs représentants ne cessent d’alerter : on observe une situation d’épuisement, de harassement des professionnels de santé, soignants et non soignants. Certes la Santé est une politique nationale, pas locale. Elle ne relève pas, normalement, des compétences des collectivités locales. Mais face à l’urgence et aux défaillances nationales, nous devons agir pour soutenir celles et ceux qui tiennent à bout de bras les services publics de santé. C’est pourquoi nous allons prendre nos responsabilités en proposant au prochain conseil métropolitain des investissements importants. À travers toute la France, nous avons applaudi à nos fenêtres le courage, le professionnalisme et le dévouement des personnels de santé en début de pandémie. Ils demandent depuis des années plus de moyens. Réanimation (à Rouen et Elbeuf), lutte contre les violences faites aux femmes, santé mentale, périnatalité, addictologie, cancérologie… Nous serons au rendez-vous. »
La Métropole Rouen Normandie travaille, en lien avec plusieurs établissements à l’accompagnement de projets structurants menés sur son territoire. Une délibération sera proposée au conseil métropolitain du 31 janvier 2022 pour engager les investissements nécessaires à la réalisation de ces projets. Les domaines particulièrement visés sont la réanimation, la lutte contre les violences faites aux femmes, les parcours généraux et unités de soin, la périnatalité, l’addictologie, la lutte contre le cancer et les services psychiatriques.
La Métropole Rouen Normandie et l'Office National des Forêts ont signé une nouvelle convention qui porte sur la période 2021-2026.
L'ONF et la Métropole Rouen Normandie ont signé le 5 janvier 2021 une nouvelle convention portant sur la période 2021-2026. L'occasion de rappeler que la Métropole Rouen Normandie bénéficie d'une situation exceptionnelle avec une ceinture forestière "qui n'a pas son équivalent en France, ni peut-être en Europe", selon le directeur territorial de l'ONF, Eric Goulouzel. Cet atout en terme de qualité de vie et d'attractivité est également un enjeu fort en terme de transition écologique.
La convention définit les domaines de compétences et les actions pour lesquels les deux parties entendent renforcer leur coopération. Elle détermine également les modalités de suivi et de gouvernance de ce partenariat. Dans le cadre de cette convention, la Métropole et l’ONF poursuivront et amplifieront leur partenariat avec pour ambition les objectifs suivants :
Le bien-être des populations locales
La haute qualité de vie et l’attractivité du territoire
La prévention contre le réchauffement climatique et ses conséquences
La valorisation du bois dans les usages les plus locaux possibles
Un haut niveau de dialogue et de collaboration
Une information transparente sur la gestion forestière.
Ces objectifs sont déclinés en plusieurs axes dont découlent des actions opérationnelles et détaillées dans la Charte forestière de territoire et le Contrat de projet Forêt d’exception® :
Des forêts pour se ressourcer, se cultiver, s’impliquer
La transition écologique et sociale autour d’une gestion durable des forêts
Une gouvernance opérationnelle et collaborative entre la Métropole et l’ONF.